Entre le XVIIIe et le XXe siècle, de la Révolution française à la Révolution russe, l’idée de progrès a incontestablement comporté des attitudes « mémoricides » qui ont mené à la destruction de certaines archives. Ce sujet est au cœur de l'ouvrage Identity and Loss of Historical Memory. The destruction of archives (éd. Peter Lang, 2017), présenté par les auteurs Igor Filippov et Flocel.