PSL voices | Mon année de césure en Nouvelle-Zélande

Article publié le 16 avril 2024

 

Vous envisagez de faire une année de césure pendant votre cursus de licence ou de master ? Jade vous raconte sa gap year en Nouvelle-Zélande pendant sa scolarité à Dauphine-PSL et vous en dis plus sur ce dispositif à forte valeur ajoutée dans le cadre de la construction de votre projet d'orientation ou projet professionnel.  

depuis mon arrivée à PSL, j’ai eu la chance de pouvoir faire une “pause” d’un an pendant mes études…
 … Je te vois venir, tu te dis sûrement : “elle ne veut pas dire qu’en fait, pendant un an, elle n’a pas fichu grand chose”. Si c’est le fond de ta pensée, détrompe-toi ! Cette pause est très encouragée par l’Ծé et pour cause, elle nous est très utile en tant qu’étudiant.
 
La césure est souvent effectuée entre la première et la deuxième année de Master, mais elle peut également avoir lieu en Licence. Elle permet aux élèves comme toi ou moi de pouvoir bénéficier du statut d’étudiant mais sans être forcément assis dans un amphi ou une salle de classe. À Dauphine-PSL, les parcours ponctués d’une césure sont très courants, mais il faut savoir que le processus reste très réglementé. Nous devons faire une demande auprès de la commission pédagogique et pour que notre projet de césure soit accepté, il faut - entre autres - qu’il entre bien sûr en adéquation avec notre cursus (sujets du stage ou du contrat professionnel, voyage pour développer certaines compétences…).

 

 

 

 

Tu peux faire un stage, voyager, obtenir ton premier CDD, tenter le bénévolat. Pour les plus passionnés d’entre nous, tu peux même en profiter pour suivre un autre Master pendant 1 an. Il y en a pour tous les goûts, et crois-moi, cette année est bénéfique autant professionnellement que personnellement.

Pour te raconter un peu mon expérience, j’ai fait le choix de faire une césure en premier lieu parce qu’en étudiant à , il était assez courant d’en faire au niveau Master. J’avais eu écho de cette opportunité dès ma Licence, j’y pensais donc depuis un petit moment ! Ensuite, cela représentait pour moi un moyen d’accumuler une ou deux longues expériences dans le milieu professionnel qui, je le savais, m’aideraient par la suite. 

En ayant fini mes cours du M1 assez tôt dans l’année, ma césure a été un peu plus longue qu’un an, et cela a été une chance ! 
J’ai commencé courant mai par un stage de 6 mois, que j’ai renouvelé ensuite pendant 3 mois dans un réseau d’acteurs du développement durable. C’était ma première longue expérience dans le milieu professionnel, et j’ai pu la valoriser pour trouver mon stage de fin d’études en M2. Je te l’avais dit, professionnellement cela nous fait beaucoup avancer.

 

Nouvelle-Zelande lac

 

Et le plus excitant a été la suite. Dès janvier, je me suis envolée pour la Nouvelle-Zélande pour un road trip de 7 mois ! De quoi découvrir le pays de long en large, d’y travailler, de voyager, de faire des rencontres mémorables et d’en revenir avec des souvenirs pleins mon sac. J’avais fait part de ce désir de voyager lors de mes souhaits pour la césure, et cela avait été accepté. Un voyage comme cela m’a permis d’approfondir mon niveau en anglais, de découvrir une nouvelle culture, ce qui a renforcé ma capacité d’adaptation. En bref, c’est un voyage qui marque à vie. 
 
Si c’était à refaire, je referais cette césure 1000 fois. Un an, c’est la durée idéale pour en profiter et pas trop déconnecter du monde universitaire ! D’ailleurs, tu auras la chance de découvrir à la rentrée du M2 toutes les expériences incroyables qu’auront accumulées tes camarades pendant cette année de coupure.

 

 

 

En savoir + sur la césure 🗝️​

 

 

Découvrez le témoignage de Mathilde sur son année de césure à Dauphine PSL :

 

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Auteur de l'article
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Jade, Master Affaires internationales & développement (M2), Dauphine - PSL

 

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